Restez informés des dernières actions, des prises de parole, des temps forts du collectif et des évènements à venir.
Enseignant·es du supérieur, en faculté, en IUT ou en école d’ingénieur, ils représentent la diversité de notre collectif et la diversité des enseignants du supérieur.
Le CNESER (Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche) est une instance consultative du ministère, composée de représentants des personnels, des étudiants, des établissements et des organisations syndicales.
Il examine et émet des avis sur les grandes orientations de la politique universitaire, les textes réglementaires, les budgets, les statuts ou encore les réformes touchant l’enseignement supérieur et la recherche.
Nous sommes disponibles pour relayer au ministère les demandes des collègues.
Nos relais jouent ici un rôle essentiel.
Les élus CNESER sont des représentants investis qui assurent le lien entre les établissements et les instances nationales.
Ils jouent un rôle central dans la défense des intérêts de la communauté universitaire, la circulation des informations, la veille sur les politiques de l’enseignement supérieur et de la recherche et ils représentent les collègues au plus haut niveau.
Diffuser les décisions et les débats du CNESER auprès des collègues pour renforcer la compréhension des enjeux nationaux dans l’Enseignement supérieur.
Recueillir les retours du terrain, les préoccupations locales et les propositions des personnels, pour les porter dans les échanges et votes du CNESER.
Maintenir un lien actif entre les établissements et le niveau national en participant à la coordination des élus, à la stratégie syndicale et à la veille institutionnelle.
Défendre les droits des agents dans les instances nationales, informer sur les décisions impactantes, et accompagner celles et ceux qui sollicitent un relais ou un soutien.
Depuis sa création, le Collectif 384 a porté de nombreuses motions devant le CNESER, sur des sujets essentiels liés au statut et aux conditions des enseignants du supérieur.
Ces propositions, débattues au sein de cette instance nationale, traduisent l’engagement du Collectif 384 en faveur d’une reconnaissance statutaire des enseignants du supérieur, de l’équité de traitement, de l’accès au RIPEC et de la valorisation des missions d’enseignement.
Voici quelques exemples parmi les plus marquants :
• Mai 2025 : Motion pour l’accès des ES à la classe exceptionnelle
Cette motion réclamait la réintroduction d’un équivalent au vivier 1, afin de corriger les inégalités induites par sa suppression et de limiter les impacts sur les retraites.
• Mai 2025 : Motion pour la justice et l’équité des primes
Le Collectif 384 a demandé un accès équitable des ES au RIPEC ou à un dispositif équivalent, et la prise en compte de l’ensemble de leurs missions.
• Mars 2025 : Motion en trois points pour garantir le bon fonctionnement de l’ESR
Cette motion demandait l’égalité des primes entre EC et ES, l’arrêt des textes modifiant leur statut sans concertation, et la création d’un groupe de travail sur les primes.
• Février 2025 : Questions au ministre et défense du statut des enseignants
Le Collectif 384 a interrogé le ministre sur les inégalités liées au RIPEC, la place des ES dans l’enseignement supérieur et les moyens alloués aux établissements.
Ces initiatives témoignent de la présence active du Collectif 384 au sein des instances nationales et de sa détermination à défendre les droits des enseignants du supérieur. Elles contribuent à faire entendre la voix des ES et à porter leurs revendications au plus haut niveau.
Les propos liminaires sont des déclarations introductives faites au début des séances du CNESER (Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche) par un collectif, un syndicat ou un élu. Ils permettent d’exprimer officiellement une position sur les sujets à l’ordre du jour, de rappeler les revendications prioritaires, de dénoncer des injustices ou de sensibiliser aux enjeux à venir.
Pour le Collectif 384, ces propos sont un moment clé pour défendre les droits des enseignants du supérieur, et de tous les autres personnels, alerter par exemple sur les inégalités instaurées entre les enseignants du supérieur et les enseignants-chercheurs, notamment concernant le les primes (exclusion des ES du RIPEC) ou le statut et affirmer leurs demandes devant les ministères et les autres représentants afin de réclamer une véritable reconnaissance des enseignants du supérieur.